
Des bras toujours un peu ouverts,
Mais captifs de leur univers,
Que nul n'aperçoit sauf celui
Qui vous recherche et qui vous fuit,
Un buste avec un air d'arbuste
Bien droit au feuillage naissant
Pour l'oeil de l'homme, carressant.
La captive . P. 449 / Jules Supervielle
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